Archive des articles

21/07/2015 18:12
Contrairement à aujourd'hui, la langue universelle du XIXe siècle était le français. Le français était la langue de la diplomatie et dans les hautes sphères du pouvoir tout le monde se devait de parler la langue de Voltaire qu'il soit russe, prussien, autrichien ou britannique. Une telle situation...
21/07/2015 17:17
A l'heure actuelle, nous ne nous rendons pas compte de ce à quoi un champ de bataille pouvait ressembler sous l'Empire. En effet, hormis les cris liés à la lutte, le champ de bataille était inondé d'une épaisse fumée provenant des armes utilisées et rendant la visibilité quasi nulle à certains...
21/07/2015 16:57
En campagne, les troupes devaient à tout moment assurer leur sécurité. Ainsi, on déployait autour des campements des vedettes et des sentinelles. Les vedettes étaient des cavaliers qui patrouillaient aux alentours des campements pour prévenir tout attaque et donner l'alerte en cas de...
21/07/2015 16:06
En 1815, la botte du Hainaut, comme nous l'appelons aujourd'hui en Belgique, était un territoire français. Napoléon y amassera ses troupes début juin 1815 autour de Beaumont avant d'envahir la Belgique. Les Alliés, depuis mars 1815 et le retour de Napoléon en France, rassemblent leurs troupes...
20/07/2015 21:09
Le déplacement des troupes napoléoniennes a toujours été un défi pour pouvoir les amener au bon endroit au bon moment. Un fantassin marche à peu près à 4 km/h et peut parcourir en moyenne des étapes quotidiennes de 20km avec de manière exceptionnelle des marches forcées à plus de 45km. Pour cela,...
20/07/2015 20:42
Dans son Journal de la campagne de Waterloo, Alexander Cavalié Mercer, officier d'artillerie britannique, décrit la souffrance des chevaux sur les champs de bataille que l'on laisse agoniser sans y prêter attention. Les chevaux étaient aussi dignes de pitié, doux patients, endurants. Il y en avait...
20/07/2015 00:48
Il est difficile de s'imaginer aujourd'hui les contraintes logistiques et organisationnelles inhérentes à la gestion des troupes devant participer à une campagne. Maintenir des troupes concentrées pour la bataille n'était possible que pendant une durée limitée étant donné qu'il fallait pouvoir les...
19/07/2015 23:45
Le Colonel Sir William Howe De Lancey était un officier britannique qui fut nommé chef adjoint à l'état-major de Wellington en Belgique en remplacement de Sir Hudson Lowe que le Duc de Wellington n'aimait pas. Ce dernier sera d'ailleurs le geôlier décrié de Napoléon à l'île de Sainte-Hélène. De...
19/07/2015 23:08
Dans les films à grand spectacle retraçant l'épopée napoléonienne, on voit les troupes déferlant sur le champ de bataille au son des tambours et des fifres. On voit les cavaliers galopant à brides abattues pour aller percuter les masses ennemies de fantassins. La réalité historique est tout...
19/07/2015 22:19
Frédéric-Guillaume de Brunswick-Wolfenbüttel, surnommé der Schwarze Herzog (le duc noir) était un militaire et prince allemand qui fut brièvement Duc de Brunswick-Lunebourg et Prince de Wolfenbüttel en 1806, avant l'invasion française. Il reprend le pouvoir en 1813 et devient le premier Duc de...
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