13/02/2016 20:25
Nous avions relaté dans un précédent article comment Napoléon avait perdu son fidèle ami Duroc et le Général Kirgener ce qui l'avait rendu inconsolable. Il était alors allé s'asseoir triste près des avant-postes comme le relate Adolphe Thiers, grand admirateur de l'Empereur:
Sorti de la chaumière où l'on avait placé Duroc mourant, il alla s'asseoir sur des fascines, assez près des avants-postes. Il était là, pensif, les mains étendues sur ses genoux, les yeux humides, entendant à peine les coups de fusil des tirailleurs, et ne sentant pas les caresses d'un chien appartenant à un régiment de la Garde, qui galopait souvent à côté de son cheval, et qui en ce moment s'était posé devant lui pour lui lécher les mains...
