Durant la fameuse bataille d'Eylau, le capitaine Auzouy des Grenadiers à cheval de la Garde est blessé mortellement. Ses camarades viennent pour le porter à l'ambulance, le capitaine reprend momentanément ses esprits pour dire :
Laissez-moi mes amis, je meurs content, puisque nous avons la victoire et que je puis mourir sur le lit d'honneur, environné de canons pris à l'ennemi et des débris de leur défaite. Dites à Napoléon que je n'ai qu'un regret, c'est que dans quelques moments, je ne pourrai plus rien pour son service et pour la gloire de notre belle France ! À elle mon dernier soupir.
Il expire ensuite ayant brûler ses dernières forces.