L'Empereur ne lésinait pas à acheter plusieurs paires de bottes pour ses fréquents déplacements à cheval. Il les préférait à l'écuyère remontant jusqu'au dessus du genou. Mais avant qu'il puisse les utiliser, il les confiait à un brave valet qui avait alors la lourde tâche de les briser afin de les assouplir avant de serrer les petons impériaux.
On rapporte également que Napoléon était peu soigneux de ses bottes n'hésitant pas à attiser les feux des bivouacs de la pointe de ses bottes...
